« Chéri regarde ce qu’il y a sur le perron ! » madame Halstead se pencha pour prendre le panier et retourna à l’intérieur pour montrer sa trouvaille à son mari. À l’intérieur de panier, ce trouvait une enveloppe. Sans hésiter, madame Halstead se mit à la lire et ce qu’elle découvrit la stupéfiât. En déposant la lettre sur le comptoir de la cuisine, la couverture se mis à bouger dans le panier et les plus d’un bébé naissant retentir. « Chéri on a déposé un bébé sur notre perron. » Elle s’empressa de prendre l’enfant dans ses bras. Monsieur Halstead, surpris également, mais sans plus, il sorti du réfrigérateur un biberon qu’il se mit à faire chaud dans l’eau chaud. Ce n’était pas le premier bébé qu’ils accueillaient, mais ils ne s’attandaient pas à la trouver sur le perron. En général, les Fondateurs leur apportaient l’enfant eux-mêmes, mais ce n’était pas le cas. Une fois le lait prêt, il tendit le biberon à sa femme après l’avoir testé sur sa peau. « Dans ce cas, il faudrait prévenir les fondateurs pour cette petite. Si elle a été déposée directement ici, ses pouvoirs ne sont surement pas bridés. » Même s’ils étaient humains, car oui, les Halstead  avaient été choisi pendant quelques générations pour accueillir des êtres magiques pour les protéger et les élever jusqu’à leur majorité. Il se dirigea vers le miroir de la cuisine et lança un simple appel aux Fondateurs. En moins d’une minute, les Halstead furent rejoins par un homme. Il était accompagnée d’une sorcière et cette dernière lança un sort afin bloquer les pouvoirs de la petite jusqu’à sa majorité.
« Thea, viens me voir dans le salon s’il te plait. » Je me trouvais dans la salle de jeux avec ma sœur Dora. On avait toute les deux neuf ans à cette époque-là et on s’était toujours trouver très différentes toute les deux. On savait qu’il y avait quelques choses qui clochaient. Alors que celle-ci était avec les parents dans le salon, moi j’avais continué à jouer jusqu’à ce qu’elle vienne me rejoindre et que nos parents m’appelle à leur tour. Je tends alors mon jouet à Dora et me dirigea vers mes parents. Ma mère tenait une lettre dans sa mains et me fit signe de m’asseoir à ses coté. « Nous venons de discuter avec Calli et nous pensons que tu devrais aussi être au courant. » Elle me regard durant un instant avant de se tournée vers son mari. Je le vit lui faire signe et elle me tendit la lettre. Bien que je n’aie que neuf ans, je savais déjà très bien lire et écrire. L’école n’avait jamais été un problème pour moi. J’adorais étudier et même que mes enseignant disait que je pouvais même sauter une classe si je le voulais. Bref, je m’installai sur le sofa à côté de ma mère et pris la lettre avant de la lire. Une fois terminée, j’étais toujours aussi calme qu’avant. « Alors ? » Je regardai mon père puis ma mère et leur souris. Sans qu’ils ne s’en attendent, je leur sautai dans les bras. « vous êtes mes parents chéris. » La lettre avait été écrite par ma mère biologique. Elle expliquait qu’elle avait entendu parler des Halstead et qu’ils étaient les mieux placer pour élever sa fille, c’est-à-dire moi. Du milieu où elle venait, elle n’avait pas les moyens d’élever sa fille et qu’elle souhaite une vie remplit d’amour pour sa petite princesse. « Tu ne nous en veux pas ? » Je leur fis signe que nous, car je m’en doutais un peu. Avec Dora, on en avait déjà discuté. On savait qu’on ne ressemblait pas aux Halstead et niveau physique, Dora et moi, nous n’avions rien en commun non plus.
« Allez Thea vient, on va s’amuser ! » Je venais de fêter mon dix-huitième anniversaire avec mon copain et il voulait m’amener en camping en forêt pour passer du temps plus intime avec moi et pour une autre raison que je ne voulais pas, mais niveau camping, ce n’était pas trop mon truc. « Thomas, je t’ai dit que le camping et moi ça fait deux. Et puis y’a tous les moustiques… Ce n’est pas romantique du tout. » Il me pris dans ses bras et commença à m’embrasser. Je le repoussai doucement. « Si je dis oui, il y a une seule condition. Je ne suis pas encore prête pour ça et je préfère qu’on soit dans un endroit un peu plus confortable lorsque le moment sera venu. » Thomas me regarda dans les yeux et poussa un soupire qui ne passa pas inaperçue. Je savais qu’il avait hâte, mais pas moi et je voulais respecte ça. Le temps qu’on prépare notre séjour en forêt, trois jours avait passé. N’étant pas un fan de passé quelques jours en forêt, je voulais être certaine qu’on ne manque de rien. Arrivée sur notre lieu de camping, Thomas s’empressa de faire de monter la tente et de faire un feu. Il m’avait dit pendant le voyage que je devrais ne m’occuper de rien. Le soir venue, la température descendait rapidement et j le sommeil commençait à me prendre. Je m’étais donc enfermer dans la tente et Thomas vint me rejoindre rapidement. Il m’avait dit qu’à deux la température allait augmenter. Il se colla à moi et commençait à m’embrasser. Dans le coup, sur la bouche et tout d’un coup, il commença à devenir plus violent. Il passait ses mains sur mon corps. « Thomas arrête. J’ai dit que je ne voulais pas. » Je tenta de le repousser, mais il continua plus fort cette fois. Il bloqua mes bras et mes jambes avec son corps. Je ne pouvais plus bouger. « Thomas !!  » Alors qu’il commençait à déchirer mes vêtements, je me mis à crier de me lâcher. C’est à ce moment-là que quelques choses de très étrange se produisirent. Deux branches d’arbre faisant office de bras traversèrent la toile de la tente pour soulever Thomas et le propulser un peu plus loin. Un arbre venait de me sauver la vie. Horrifié, je regardai l’arbre et celui-ci retourna à a place sans rien faire de plus. Que venait-il de se passer ? Sous le choc, je me dirigeai vers Thomas pour voir s’il allait bien. Il était inconscient, mais j’arrivai à le mettre dans la voiture. Aussitôt, je le mis dans la voiture pour retourner à la maison.
Après quelques jours de mon escapade en forêt avec Thomas, j’étais toujours sous le choc. Je n’arrivais pas à comprendre ce qui était arrivée. Pourquoi l’arbre avait- réagis ainsi ? Voyant que quelques chose n’allait pas, mon père vint me voir dans ma chambre, « Ma chérie, ça fait plusieurs jours que tu n’as pas manger. Que se passe-t-il ? » J’étais couchée en boule dans mon lit et je le senti venir s’asseoir à mes pieds. Voyant qu’il n’allait pas partir de ci-tôt, je me redressai dans mon lit et le regarda. « Quelque chose c’est passé avec Thomas…» Je pris une grande respiration et enchaina ; « Il m’a agressé, mais…» Lorsque je vis le visage de mon père tourner au rouge, je m’empressa de continuer ; « Il n’a pas réussi, en fait, un arbre m’a sauvé.. » Lorsque je vis mon père se calmer, je savais que quelques choses n’allaient pas. « Thea… Je dois t’expliquer quelques choses… » C’est alors qu’il commence à me conter toute l’histoire du début à la fin. Moi, retrouvé sur le perron, jusqu’à aujourd’hui. Il me disait que ma mère était un être magique tout comme mon père et que je possédais des pouvoirs. Depuis que j’étais jeune, j’avais une affinité avec les plantes. Je passais tout mon temps à l’extérieur et j’avais toujours adorée jardiner. C’était même moi qui avait fait l’arrangement. Au départ, je le pris pour un fou, mais plus il m’expliquait mes origines plus je commençais à le croire. Il m’avait même parlé de l’école de magie, un lieu où je pourrais apprendre à contrôler mes pouvoirs, car oui, il se pouvait que j’en ai plus d’un. Quelques jours plus tard, une personne de l’école vint me chercher afin de m’y amener. C’est en cet endroit que le déclic ce fit. Je compris rapidement que tout était vrai. Étrangement, j’adorais être là. Je me sentais comme chez moi. En quelques années, soit quatre ans plus précisément, j’appris à contrôler ma phytokinésie, car c’est comme ça que les sorciers nommaient mon pouvoir sur les plantes. Entre temps, j’avais découvert la animorphose, soit la capacité à prendre forme animal Pour l’instant, j’ai encore de la difficulté. Prendre une forme animale est très douloureux pour moi. Sinon, avec l’aide de mes parents, une fois le lycée terminée bien sûr, j’ai ouvert une boutique de fleur portant le nom « The Red Rose » je n’avais aucune idée comme nom et c’est le première qui m’est venu à l’esprit au moment de donner le nom.

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Fiou le petit-ami dans la forêt c'était vraiment un pervers, psychopathe, il a bien mérité ce qui lui est arrivé
Si tu as envie d'être neutre pour débuter pour qu'elle continue à s'habituer à sa nature, il n'y a pas de soucis pour qu'elle soit vraiment sûre de soi d'être bénéfique plus tard.
Je trouve ta fiche tellement parfaite, Holland correspond au rôle.

bon jeu sur le forum !